mardi 24 mars 2020

Confinement et passion


Le samedi 18 avril, l’article a mystérieusement disparu au moment où je publiais la dernière actualisation. Après avoir cherché à réparer de 16h à 23h30 de façon ininterrompue et avoir contacté un informaticien, il s'est avéré que ce dysfonctionnement ne  relevait ni de l’ordinateur ni de moi. Il s'agissait d'un bug informatique, en d'autres termes, "Internet s'est emmêlé les pinceaux".

Je vais donc devoir tout refaire et essayer, à partir de ma banque de données photographiques,  de remettre en ligne les ouvrages de toutes durant ce confinement, mais la spontanéité des commentaires est définitivement perdue. J’en suis autant désolée que vous, tant d’heures de travail se sont envolées.

Même si je m'y attelle tout de suite et pour de longues heures, ce site restera en maintenance certainement 2 ou 3 jours.

Je vais donc procéder non plus chronologiquement, mais par couturières jusqu’à la période actuelle.

Colette
Nous commençons donc par Colette qui inaugurait déjà l’article disparu. Elle s’est durant ce confinement lancée dans la création de poupées et il faut bien avouer qu’elle est vraiment devenue experte, tant elles sont jolies et originales.
C'est ainsi qu'elle a vite offert une compagne à Valentine, Céleste, une petite levrette de Pâques, celle-ci semble avoir quitté sa maîtresse Ostera pour s’installer confortablement chez notre Colette.


Colette





   Une autre compagne s’est aussi installée dans la maison, c’est Suzette, la petite souris. Elle est mignonne comme tout. Colette mérite amplement son nom de fée aux doigts d’or. Elle arrive incroyablement à donner un semblant de vie à ses poupées. Magnifique !
Colette






       Et comme si ça ne suffisait pas à ses fillettes de chiffons, elle leur a encore offert deux pingouins, la mère et le petit. Eux ne font pas trop de bruit, mais espérons qu’ils survivront sous nos latitudes. 
       Qu'ils doivent être doux à câliner.



Colette
Avec toutes ces naissances à la maison, ça doit faire un beau charivari. Il était donc temps de leur adjoindre une femme de ménage. En  quelques heures, Colette a résolu le problème. Voici la femme de chambre.

             Remarquez sa coiffe et son pantalon bordés de dentelle, c'est un travail très soigné auquel Jacques, le mari de Colette, a apporté une aide précieuse. Il a en effet, lui-même, confectionné le petit panier de l'aide ménagère. 

Colette



  Enfin, le confinement réduisant à néant ses rêves d’aventures sur les mers, Colette se les est offerts avec ce charmant pirate, admirablement réussi. 
Attention beau flibustier, n'attaque pas n'importe quel bâtiment, méfie-toi des porte-avions !....
Colette

Colette
      




Mais elle a aussi eu à cœur d’accueillir le printemps avec deux belles petites pochettes

L’une arbore comme un hommage au printemps, une jolie fleur blanche 







et l’autre est finement brodée main, un travail typique de Colette qui réalise toujours de très jolies broderies.



Ghislaine



          

 Quant à Ghislaine,  elle a aussi honoré Pâques en réalisant une adorable petite levrette. Voyez ses grandes oreilles, mais la chipie s’est épilée les moustaches et je l’avais tout d’abord prise pour une mariée d’un autre temps, confondant ses oreilles avec un voile. Elle est tellement jolie avec sa bouche en cœur et les poupées de Colette trouvent en Ghislaine une sacrée concurrence. C’est à celle qui fera la plus belle. Toutes mes félicitations à ces deux couturières de talent.
Qui s’ajoute à ce duo ?


Nous profitons également de cet à-propos pour souhaiter à Ghislaine et à son mari encore de nombreuses et heureuses années ensemble puisqu’ils fêtent aux alentours de Pâques leurs noces de nacre. Tous nos vœux de bonheur aux « vieux jeunes mariés ! »

Ghislaine
Mais Ghislaine s’est montrée active malgré les travaux du jardin qui meublent quelque peu les journées de confinement et elle a réalisé deux charmantes pochettes. 




Ghislaine

L’une très féminine avec son gros nœud rose qui rappelle le printemps, l’autre coquine et originale avec ses souris Mickey parsemées un peu partout sur le tissu.





Sylviane


Quant à notre prolifique Sylviane, elle a comme à son habitude, réalisé pléthore de petits objets, le confinement se transformant en inspiration nocturne, car notre Sylviane travaille essentiellement la nuit quand ses "hommes" et "bestioles" dorment et lui laissent quelque répit.
C’est ainsi qu’elle a conçu une délicieuse bonbonnière qui trouvera aisément sa place dans la chambre d’une jeune fille ou dans la salle de bains.

Sylviane



      Mais elle a aussi cousu une poche à épingles à linge à suspendre au jardin. Son décor printanier en fait tout le charme et j’aime beaucoup son tissu « herbe ».



Sylviane







   

Pour parfaire son ouvrage, elle a créé deux appliqués différents suivant le côté que l’on aperçoit. Voici donc le recto et le verso de cette poche :

Sylviane










Mais elle a aussi réussi un original fourre-tout à déposer dans une entrée, histoire de retrouver ses clefs de voiture ou sur un bureau pour y accueillir stylos, crayons et ciseaux. Mais on peut lui trouver maintes autres utilisations.
Sobre et moderne, en jean, il devrait séduire les adolescents autant que les adultes.

Sylviane et Renée





     Mais Sylviane joue aussi à la créatrice et se donne des airs d’artiste à ses heures. C’est ainsi que lors du déménagement de Renée, elle a récupéré un sac avec toutes sortes de tissus et d’essais de patch. Parmi tous ces petits trésors, elle a trouvé d’innombrables feuilles de tissu vert, déjà réalisées par Renée. 
Sylviane et Renée

Que pouvait-elle bien faire avec ça ? Renée avait la solution : « tu trouveras bien quelque chose à faire avec. » Ben voyons ! 


    Alors Sylviane, soucieuse de faire vivre ces petits bouts de tissu de Renée, a assemblé toutes ces feuilles en un chemin de table et son napperon assorti et avouons que son ouvrage est parfaitement réussi. Comme quoi, on ne doit jamais rien jeter en patchwork. Avec un peu d’imagination, on réalise des ouvrages uniques en leur genre.


Renée

Justement,  Renée, a, elle aussi honoré Pâques à sa façon et a réalisé, non pas une poule dont elle n’avait que faire, mais un coussin-poule. C’est ce qui s’appelle « joindre l’utile à l’agréable ». Un petit bout de tissu rouge ici, un jaune là, vous vouliez une poule, en voilà une ….
Renée
Mais elle a aussi terminé un autre ouvrage donné lors d’une journée d’amitié à Ourscamp en novembre dernier. De son assemblage, elle a fait un coussin qu’elle a orné d’une fleur crochetée par ses soins. Celui-ci est plus classique mais tout à fait charmant dans ses beiges et rouges. On reconnaît bien là « la petite touche de Renée »
Renée



Mais elle nous présente également une botte de Noël et une étoile qu’elle vient de finir. Elle est donc réellement en avance ou alors sacrément en retard, mais qu‘importe. Sa botte est à ravir et accueillera parfaitement les cadeaux au pied du futur sapin de Noël.


Marie-France

Marie-France, quant à elle, nous a enfin rejointes sur « notre site de patchwork drive » et nous a fait parvenir cette ravissante petite corbeille de Pâques à déposer sur la table pascale. Bien sûr, les enfants et petits-enfants seront absents cette année, mais nul doute qu’elle saura remplir son office en offrant ses chocolats, même s’ils ne sont que deux à en profiter. Après tout, c’est quand même Pâques.

Chantal
Toutefois, je ne suis pas non plus restée à ne rien faire ou rivée à mon écran d’ordinateur sur le site « des Patcheuses de Renée ». 
J’ai aussi « obéi à notre cheftaine » Renée en réalisant une corbeille poule propre à garder au chaud quelques minutes,  les œufs à la coque d’un petit-déjeuner"en amoureux". 
Le problème, c’est qu’avec ce maudit virus, c’est une solitude absolue qui s’est installée et les déjeuners si agréables à prendre à deux, sont repoussés sine die.
Mais ma corbeille a toute la patience du monde.

Chantal
J’ai aussi repris « mes maisons », le patch ayant dû laisser place aux premiers travaux printaniers du jardin.       Voici donc ma maison n°19 terminée. La ville, ayant connu comme partout, un ralentissement dans sa construction.
Chantal
Par contre, virus oblige, il faut bien reconnaître que nos patcheuses sont redevenues des couturières à part entière en se spécialisant dans la confection de masques.
C’est ainsi que j’ai testé un masque dont le modèle a été donné par le CHU de Grenoble et que Sylviane  a également aussitôt réalisé. 

Chantal
Sylviane
Voici d’ailleurs notre échange en pleine nuit. A voir nos têtes, on le comprend aisément. Avec ça sur le nez, nous sommes formidablement sexy, mais la séduction n’a plus cours désormais, l’important est de barrer la route à cet organisme même pas vivant qui nous pourrit la vie et qu’il nous faut tenir à distance coûte que coûte.
Je vous communique ce lien qui vous permettra de le réaliser:


C'est très bien expliqué avec une vidéo à l'appui. Même les débutantes peuvent le faire.


Coronavirus
Au fait, savez-vous pourquoi on l’appelle « coronavirus » ? 
"corona" signifie en latin « couronne » et ce virus possède en effet une sorte de couronne tout autour de son « noyau ».
Il y a des années que ces coronavirus envahissent notre quotidien, ils sont responsables des grippes, mais celui-ci est le dernier né de la famille et de loin, le plus teigneux. Il faut vite le réduire à néant, l’éradiquer complètement avant qu’il n’ait notre peau. Il y va de la santé de l’humanité. 

Alors ne sortez pas, ne lui fournissez pas le moyen de se reproduire ! Seul, il ne peut rien faire puisqu’il n’est pas vivant. Il a besoin d’un organisme qui vive, ne lui offrez pas le vôtre !

Christiane
 Cet ignoble micron a cependant engendré un petit miracle. "Ma petite sœur"Christiane qui est loin d’être une fan de couture, a décidé de protéger sa famille et elle s’est mise à faire des masques. Voici son 1er essai :

Pas mal petite sœur, mais il est vrai qu’elle aussi a grandi au milieu des patrons et des tissus avec une Maman couturière sur mesure, elle n’a donc pas deux mains gauches. 

Christiane
Forte de son premier succès, elle a continué, testant d’autres modèles. Comme je la félicitais de s’être mise à la couture et d’avoir fait un 2ième masque, elle a eu cette réponse : « nous sommes 5, j’en ai donc fait 5 ! » 
Même si les oiseaux ont depuis longtemps quitté le nid, une Maman reste une maman…et ce n'est pas Ghislaine qui me contradira puisqu'elle en fait autant.

Ghislaine
Voici donc ce que Ghislaine a réalisé. Elle aussi doit multiplier ce masque X fois, toutes les mamans connaissent bien sûr la ritournelle : « Man, tu ne pourrais pas nous faire un masque ? » Le problème, c’est qu’ils ont tous la même idée et qu’avec les enfants et les petits-enfants, la liste s’allonge vite, d’autant qu’il en faut au moins deux par personne.
Bon courage, Ghislaine, avec « ta chère marmaille » comme on dit en créole.

Colette


Finalement beaucoup de couturières s’y sont mises. Ainsi Colette en a-t-elle réalisé un aussi, Bienvenue au club des cosmonautes, Colette ! pas facile d’être reconnue là-dessous, mais au moins, tu es davantage protégée que sans rien. 



Renée

Renée aussi, s’est fait un masque. On reconnaît ses chères couleurs, mais il est encore différent des autres . Elle a tout de suite opté pour un masque certes protecteur, mais également élégant.
Chantal
Quant à moi, même si j’ai reçu par la poste un FFP2 de mon ami – ils sont toujours disponibles pour la population en Allemagne – je continue à faire des masques pour ceux qui me sont chers. Ainsi, Marc, mon voisin en a-t-il reçu un bleu comme un petit clin d’œil à son uniforme… En effet, gendarme à la retraite, il a eu l’habitude de cette couleur, mais il l’a bien pris. Ce masque est finalement devenu le petit cadeau du moment, celui qu’on offre à un ami ou une amie, depuis que les fleuristes n’ont plus le droit de vendre de fleurs.


Mais, comme mon frère Philippe a des fourmis dans les jambes et ne peut s’empêcher de sortir, je lui ai aussi fait un masque pour pallier un peu son inconscience. Je ne le présente pas, c’est le même que ci-dessus.

Sabine
Alors Sabine, sa femme, s’est mise aussi à coudre, dès qu’elle en avait fini avec les visioconférences avec ses élèves. Mais il y a manifestement incompatibilité d’humeur entre elle et la machine à coudre. Je ne sais laquelle se rebiffe sur l’autre, toujours est-il que la machine ne veut rien savoir sous les doigts de Sabine. Et c’est là que la situation devient réellement cocasse car Philippe, s’est mis à la machine…. Lui aussi sait ce que coudre signifie – bon sang ne saurait mentir – et chez eux, les rôles se sont quelque peu inversés. Alors ? n’en déplaise à Charles Trenet, chez Philippe et Sabine, on pourrait fredonner « Philippe pique et Sabine coupe ».

Philippe
Que ne ferait pas un homme pour pouvoir sortir en évitant les remontrances et récriminations !
Ainsi forts de leur complémentarité, ont-ils réussi leurs masques. Bravo à tous les deux de s’en être quand même sortis et d’être enfin équipés !

Mais rassurez-vous les filles ! ce n’est pas demain la veille que Philippe s’assoira à notre table, une aiguille à la main. Si d’aventure, il devait passer, ce serait plutôt à l’heure du café, alléché par le gâteau qui ne fait jamais défaut.

Récemment ma sœur m’a envoyé le tutoriel d’un masque homologué AFNOR et très facile à réaliser. Je vous en communique donc l’adresse.


Christiane
Toutefois, nous l’avons testé, Christiane en a fait deux tout de suite, dans un joli camaïeu de bleu – tant qu’à faire autant que les masques soient beaux si on doit les avoir sur le nez dès qu’on sort

Chantal
Et moi, j’ai aussi fait des jumeaux pour pouvoir en offrir un à une aide-soignante, bien mal équipée de masques en intissé très fin. Ce masque est bien pratique car replié il ne prend pas de place dans la poche où il ne devrait pas se trouver d’ailleurs.


Chantal


      Le voici, ouvert et en place. Il couvre bien le visage.

Il va en effet falloir se faire toutes sortes de masques assortis à nos tenues, car nous allons devoir le porter de longs mois encore.
Pensez que ce virus de malheur, si petit qu’il n’arrive même pas à vivre par lui-même, a cloîtré plus de la moitié de l’humanité et mis la plus grosse machine de guerre française hors d’état de nuire !!! Le porte-avions Charles de Gaule est en effet arrimé à quai, dans l’impossibilité de repartir en mission, avec quasiment l’ensemble de ses marins contaminé. 

Alors faites des masques, portez les, offrez les ! 

Non seulement, les couturiers en ont fait un accessoire de mode – Covid-19 oblige – mais  il faut éradiquer cette bête malfaisante. Tant qu’on n’a pas de vaccin, il faut le porter. Faites en de jolis et envoyez-les moi en photo ! je les publierai.
Que vous fassiez ou non partie de notre groupe, vous serez bien accueilli(e), c’est cela la fameuse solidarité des couturières.
Et comme lorsqu’on a été prof, on le reste à vie, car avant d’être un métier, c’est une vocation, j’aimerais faire un petit rappel à Albert Camus qui a si bien décrit la situation que nous vivons aujourd’hui.

Lisez ou relisez LA PESTE.

N'oubliez pas de cliquer avec le bouton gauche sur les photos que vous voulez mieux voir. elles sont s'agrandir.

Voilà, Nous sommes le lundi 20 avril, j'ai tout remis à jour ou plus exactement tout refait. La chronologie des ouvrages reprend, j'attends vos travaux, Mesdames.



Sabine
    Sabine s'est remise à la machine à coudre et a réussi, cette fois toute seule, à faire ces deux jolis masques bleus. Elle aussi donne directement dans les jumeaux... Tant qu'à faire, autant porter le même que son âme sœur.
   Mais elle a changé de machine, celle-ci semble plus docile....


Christiane
 Quant à Christiane, elle poursuit ses essais, tous réussis, pourtant la couture n'est pas sa priorité. Ce masque immaculé conviendrait particulièrement bien à sa fille Sophie infirmière, comme masque de ville.
     Mais après tout, face à la pénurie, même dans les CHU, tout est bon à prendre. La situation est tellement navrante quand on la compare avec celle de notre premier partenaire européen.
Christiane

       Christiane est tellement bien lancée qu'elle et ses filles vont pouvoir rivaliser d'élégance ou d'originalité avec leurs masques, Il y en a vraiment pour tous les goûts et certains sont même très élégants. Il est vrai qu'il est fort probable que le port du masque dure longtemps et s'il faut avoir cela sur le nez, autant que ce soit joli.
Par contre, ce n'est pas la joie chez les fabricants de rouge à lèvres...

    Renée, a comme nous toutes, quelque peu délaissé son patchwork pour se concentrer sur la fabrication de masques. Non seulement, elle s'en est fait de différentes couleurs pour les assortir à sa tenue du jour, mais encore a-t-elle transformé son petit appartement en atelier de confection ....
Renée
En effet, depuis qu'elle est seule, Renée a choisi de vivre dans un foyer et comme elle aime rendre service et qu'elle ne peut rester inactive, notre chère Renée a décidé d'équiper le personnel "qui est si gentil avec elle" de masques en tissu lavables. Ils sont tous différents et les dames ont même le choix du coloris. Une pensionnaire au top, notre Renée, mais elle a quand même hâte de récupérer une certaine liberté et attend impatiemment le déconfinement.


Chantal
  Quant à moi, ne pouvant me rendre au jardin, j'ai occupé mon après-midi dominical dans la confection d'un... devinez quoi .....masque bien sûr. Mais celui-ci a une petite particularité, il est équipé d'un pince-nez, très utile pour limiter la buée sur les lunettes.

Comment réaliser un pince-nez ?      
   C'est l'enfance de l'art, et bravo à celle qui en a eu l'idée. Vous avez toutes chez vous, ces petites attaches blanches, destinées à fermer les sachets de congélation. Eh bien, glissez en une dans l'ourlet du haut, au niveau du nez avant de refermer. Facile, non ?


Renée
Renée continue sur sa lancée et confectionne masque sur masque pour le personnel. Bien sûr, elle les leur offre, solidarité oblige. Voici la seconde série de masques que la "bonne fée Renée" compte bien distribuer autour d'elle pour la plus grande joie des récipiendaires.


Sabine
   Quant à Sabine, elle a maintenant bien compris la réalisation de masques et y consacre quelques après-midis pour  assurer sa proche famille d'une protection anti-virus.
Philippe


    




C'est ainsi que son compagnon et elle ont le même masque. Pratique, au moins elle le repère de loin, impossible d'ignorer qu'ils forment un couple.


Christiane
Intérieur

      Quant à Christiane, qui aligne masque après masque pour ses filles, elle a fini par se souvenir qu'elle avait un mari et lui a confectionné aussi un masque AFNOR. Car pas question de lui en offrir un avec des fleurettes. 


Mais je ne reste pas sans rien faire. Chaque matin, c'est opération "masque", par contre le patchwork a dû s"incliner devant les obligations inhérentes au potager. Mais ce n'est que passager. Dès que tout est en terre, je reprends mes maisons.
Chantal


Voici mes derniers masques : 



Bon, nous allons être bientôt super équipées en masques. A partir du 1er mai, j'ouvre un nouvel article où j'espère publier vos réalisations de patchwork, cette fois.

J'ai activé la fonction "commentaires" - honnêtement parlant, j'ai fini par la trouver.... - vous pouvez donc y laisser de temps en temps un petit mot, une suggestion, un rappel ou une remarque.