mardi 22 juin 2021

Patchwork en été

 

    C'est à l'ombre de mes bananiers que nous commençons nos ouvrages d'été.

    Non, non, nous ne sommes pas à la Réunion ou en Martinique, mais bien en Picardie et qu'il est agréable de profiter de cette luxuriante végétation au coeur de notre région boréale.

Céline
    


    
    Céline a terminé son année de patch sur un très joli ouvrage.     Débutante, elle a eu à coeur de réaliser un charmant sac à offrir à sa fille. Elle a certes pris le temps et le coronavirus lui en a encore rajouté, mais le résultat en valait la peine. Son camaïeu de bleus est très beau.

Céline



L'arrière du sac est tout aussi soigné.

C'est bien, Céline, continue ainsi !


    


Marie-Claude
    


    Quant à Marie-Claude, elle en avait assez de perdre ses aiguilles, alors elle s'est rapidement fait un pique-aiguilles. Tant qu'à faire autant créer quelque chose de beau. Le tissu et la forme évoquent un papillon qui garde précieusement au sein de ses ailes, les aiguilles de Marie-Claude qui ont une certaine tendance à voler ...


Marie-Claude
    

           Mais toujours très pragmatique, Marie-Claude n'aime pas chercher ses outils au fond de son sac. Avec des restes de jean, elle s'est constitué une solide pochette de couture, capable de supporter tout ce qui coupe et pique.

        

            En un tour de main, elle a tout son matériel sur la table et pour le ranger, elle le roule et enfuit son gros bonbon dans le sac. Rapide et très pratique.

Renée
    

    Quant à notre chère Renée, elle est en ce moment occupée à matelasser un petit tapis mural, mais quelle ne fut pas ma surprise en découvrant le sac qu'elle avait ce jour là, un superbe petit sac à main en Patchwork bien sûr et agrémenté d'un très joli noeud d'amitié. Même si ce n'est pas son dernier ouvrage, je ne résiste pas au plaisir de vous le présenter.





Sylviane
Sylviane
    Et là, je fais un petit aparté "Scrapbooking". En effet, notre "touche-à-tout, Sylviane, s'est lancée dans cette nouvelle technique et elle réalise de très jolies choses que la photo ne peut malheureusement rendre que succintement.

    


    Voici toute une série de petits albums-photos tout aussi originaux les uns que les autres.

        Sachez qu'elle n'achète aucune décoration finie. Elle fabrique tout elle-même.

Sylviane


    Ici, c'est un album que l'on peut ouvrir et poser sur une table, un bureau. il ne manque que les photos à y insérer.

Sylviane




    Sylviane réalise aussi de très belles cartes aux multiples facettes et des blocs-notes joliment décorés.



    Voici maintenant ce que Renée a réalisé pour ses arrière-petites-filles. Comme Cindelle et Bertille adorent habiller et déshabiller leurs poupées, Renée a entrepris d'élargir la garde-robe de leurs poupons.
 
Renée

    


    Aux vêtements déjà présentés dans l'article précédent, elle a ajouté ces ensembles, car bien sûr il faut tout faire en double, chaque petite-fille doit disposer de la même chose.

Renée
    

    Mais Renée pousse la perfection jusqu'à leur adjoindre un sac à main, mêmes couleurs mais pas identiques. L'une ne jalousera pas l'autre.

    Comme Bertille et Cindelle emmènent leurs poupées promener par beau temps, il leur faut une couverture dans la poussette.
    Chacune a donc reçu la sienne...
Renée

Renée
Jamais la même, mais chacune aussi jolie que l'autre. Renée y a veillé.

Quelle chance, elles ont ces petites d'avoir une arrière grand-mère si présente alors qu'elle vit très loin d'elles.

Une bonne façon de maintenir le lien... avec Grand-Mamie.

Et maintenant que faire des fesses d'un jean que l'on ne porte plus ?

    Danielle a trouvé la solution ! un sac ! un si joli sac que sa fille voulait déjà le  lui "chiper".
Danielle


    

    ça, c'est le dos du sac, "les fesses". Même pas besoin de faire les poches, elles sont déjà toutes cousues.

    
Danielle

    







    Mais Danielle, étant une fervente adepte de la broderie Hardanger, a appliqué sur le devant un décor brodé qui fait tout le chic féminin de ce sac baba-cool.
    
    Un joli tissu en doublure et le tour est joué, vous avez un sac unique au monde. personne n'aura le même.

    Quant à notre Sylviane qui déborde toujours d'imagination quand il s'agit de créer quelque chose de nouveau, elle a réalisé, aussi à partir d'un vieux jean, une autre pochette pour les outils de couture. Mais comme cette pochette s'adresse à une femme, elle l'a pourvue de dentelles et de belles broderies qui en font tout le charme.
Sylviane
Voici la dite pochette ouverte, on soulève le rabat fleuri et ...
Sylviane


 ...on a tous ses outils à disposition, prêts à être saisis.








Une fois qu'on a fini, on roule le tout et on range. Ce ravissant rouleau peut même rester sur la table, il est très joli.

Chacune se reconnaît...
        Mais en ce 5 juillet, le Centre de vie a fermé ses portes pour les vacances. 
    Aussi nous retrouvons-nous à quelques irréductibles pour un après-midi "couture-causette-dégustation" une fois par semaine. Aujourd'hui le temps trop humide n'a guère permis au bananier de nous abriter du soleil, qu'à cela ne tienne, nous avons trouvé refuge dans la véranda, les portes grandes ouvertes, mais au moins, nous avons un toit au-dessus de la tête. 



    Bien sûr, chaque rencontre se termine sur un gâteau et c'est Sylviane qui fut chargée de faire le partage. 

    Aujourd'hui gâteau aux amandes garni de poires...

    Je tiens toutefois à faire remarquer que les distances de sécurité sont respectées, que les baies sont grandes ouvertes sur le jardin et que tout le monde est vacciné.
    De toute façon, l'entrée de la maison est interdite aux virus quel que soit leur nom.

Jocelyne

    Jocelyne, toujours adepte des petits hexagones, vient de terminer cette charmante pochette ultra romantique.

    Mais que de travail à réaliser tous ces minuscules hexagones et à les assembler !

   Par contre le résultat en vaut la peine.


Marie-Claude

        Quant à Marie-Claude, après ces grands sacs, elle donne dans l'ultra-petit et vient de confectionner une mini trousse façon thimblecase que j'appelle plus communément "trousse clic-clac", car une simple pression des doigts sur les côtés l'ouvre.
Très pratique pour y déposer sa bague le soir ou ses fines boucles d'oreilles qui ont une fâcheuse tendance à disparaître de la surface de la table de nuit...

Cette pochette ne mesure pas plus de 8 à 10 cm de long et elle se glisse partout.

Danielle
    Ces pochettes"thimbelcase" semblent faire fureur dans le groupe. Chacune se fait la sienne. Ainsi Danielle en a-t-elle réalisé une toute petite, juste pour y mettre deux bagues ou 2 ou 3 dés. Il faut dire qu'elles sont amusantes, qu'elles diffèrent des autres et ne nécessitent aucune fermeture Eclair, elle s'ouvrent et se ferment elles-mêmes en un "éclair".

   
Marie-Claude
    Quant à Marie-Claude qui a lancé cette technique, elle est déjà revenue aux pochettes traditionnelles. En voici une vraiment très jolie
aux chaudes couleurs de l'automne, réalisée avec des hexagones minuscules. "Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage". 
    Le proverbe s'est une fois de plus révélé très probant, la pochette est magnifique.

Marie-Claude
    Cependant, elle n'a pas résisté à la tentation de se faire, dans un reste de tissu une toute petite pochette clic-clac que je nomme communément ainsi, évitant au maximum toute intrusion anglo-américaine dans notre belle langue française.

    Mais elle en a créé une autre plus conséquente, toute ornée de perles de cristal Swarowski. Un charmant cadeau à offrir. 
Belle réalisation !

    Partout nous utilisons des fermetures Eclair, mais savez-vous d'où vient ce nom ?

    Eh bien en 1911, Gédéon Sundbäck, un américain d'origine suédoise, reprend le système inventé en 1851 d'une fermeture par crochets qui avait le déplorable défaut de s'ouvrir spontanément. Il remplace ainsi les petits crochets par des dents de métal et invente le curseur qui  les fait s'insérer les unes dans les autres de façon hermétique. La fermeture à glissière vient de naître.
    En 1924, la société française Eclair Prestil rachète le brevet de Sundbäck et commercialise cette fermeture qu'elle appelle "fermeture Eclair" du nom de l'entreprise. C'est pourquoi "Eclair" doit prendre une majuscule.
    Son nom n'a donc rien à voir avec la fermeture qui se ferme en un éclair.

    Mais en 1999, cette société passe dans le giron allemand rachetée par celle-là même qui avait inventé en 1885 le bouton pression : la société Prym.
    Et voilà, c'était ma fameuse minute "savez-vous pourquoi"?

    Ces petites informations distillées ça et là me semblent importantes car comme le disait le physicien Einstein : "ce que nous savons est une goutte, ce que nous ne savons pas un océan".


Notre tablée


    Aujourd'hui, 2 août 2021, nous nous sommes de nouveau réunies pour un après-midi "couture" agrémenté d'un goûter sucré. Malheureusement, le bananier ne nous sert guère d'ombrelle comme prévu, mais plutôt de parapluie, alors nous émigrons dans la véranda, les baies grandes ouvertes. Contrairement à la mode en cours de s'opposer par principe à un vaccin, nous sommes toutes vaccinées contre le sars-cov 2, ce qui nous permet de nous retrouver sans mettre les autres en danger, même si nous laissons toujours les bisous de côté.

        Qui fait mieux ? Jocelyne vient de descendre du train, elle rentre tout juste de vacances et déjà, elle s'intéresse au prochain projet de Renée.

    Retrouver les copines , c'est aussi un bon moment...

    
                                  

    Faute de bananiers, nous cousons au milieu des orchidées en fleurs.

    Des fleurs au milieu des fleurs... quel joli bouquet !


    Rien qu'à voir le sourire radieux de Sylviane, on imagine aisément l'ambiance de cet après-midi en commun.

Une embellie dans la semaine...

    Chacune réalise son propre travail. tandis que Nicole commence un napperon au crochet, Renée continue de matelasser son tapis mural, Sylviane réalise une grande pochette, Marie-Claude fait de la couture alors que Colette et Danielle s'adonnent aux pochettes "thimbelcase".

Chantal
    



    Quant à moi, j'ai enfin terminé "mon set de sets", absorbée que je suis en ce moment par la confection de rideaux, doubles-rideaux, couvre-lits et coussins de toutes sortes...



Bon appétit Mesdames !
       


    L'été s'avance, quelques-unes partent encore, mais la plupart sont rentrées de vacances et notre groupe grossit tout doucement. Nous étions "10 à table" le 9 août dernier chez Marie-Claude.         





une autre partie du groupe



    Si, si ! Nous cousons ou plutôt... nous avons cousu, mais le café-gâteau reste un moment très convivial et apprécié de toutes.
    Ce jour-là, on oublie de compter les calories...
    ça vaut mieux !



    La mode des pochettes clic clac prend de l'ampleur et vous allez voir que nous tirons aussi l'aiguille. 

Sylviane
    Voici les pochettes de Sylviane, toujours agrémentées de petites perles, de roses et de dentelles.

            Romantiques à souhait !


    
    
    

   
Sylviane

Sylviane





Colette

    





    Tandis que certaines en font toute une collection, songeant déjà à la table de Noël, d'autres se contentent d'une seule, juste pour voir. C'est sûrement le cas de Colette, mais comme toujours, mode ou pas, elle met un point d'honneur à trouver un très beau motif .

    
Angélique


    Quant à Angélique qui s'était exceptionnellement jointe à nous, elle a su redonner à sa pochette son véritable sens premier. De part son motif, cette pochette est bien destinée à conserver les dés de la couturière.

Sylviane
    

    
  En voici le verso tout aussi joli.


    












    Cependant le véritable patchwork ne perd pas ses droits et Sylviane vient de réaliser un fort charmant livret orné d'appliqués colorés.  

    Ouvert, voici comment il se compose
  Sylviane

    Sylviane a choisi d'en faire une pochette pour un nécessaire de couture, on peut aussi choisir de l'utiliser en livret pour le courrier par exemple. Je trouve ce modèle vraiment superbe avec ses couleurs éclatantes.

Renée
        Quant à Renée, elle sacrifie comme nous toutes à la mode de la pochette clic clac, juste le temps d'un soupir, mais elle poursuit le matelassage de son tapis mural et surtout elle n'oublie pas ses arrière-petits-enfants. Comme le benjamin Gaston est encore en âge de jouer avec un poupon, elle lui a constitué aussi un adorable petit trousseau de poupée.

    Notez qu'elle n'a travaillé que pour une poupée garçon !...

Renée
   


    Mais comme le "nin-nin" de Gaston risque aussi d'avoir froid, Renée y a ajouté une jolie couverture, de quoi faire pâlir d'envie ses petites cousines avec sa forme hexagonale tout-à-fait originale..



      
Sylviane





    Voici maintenant l'aparté "scrapbooking", activité pour laquelle Sylviane se passionne depuis peu.

    Elle vient de réaliser des pochettes entièrement créées à partir d'enveloppes exclusivement.



Regardez l'intérieur, vous comprendrez :
Sylviane




    Un joli cadeau à faire, très judicieux, pour y ranger des photos, des lettres à garder et une foule de petits secrets.


    




    Et je vais terminer ce bulletin hebdomadaire par une dernière vue de notre groupe si sympathique en espérant avoir bien fait tout le tour de la table...

    Les sourires en disent long sur l'ambiance qui règne au sein de notre groupuscule d'été.


Et Dieu que les gâteaux étaient bons !!!...

Delphine

    Je viens d'avoir des nouvelles de notre chère Delphine. Elle a réalisé un très joli coussin pour l'anniversaire de sa Mamie.

    Orné de poupées Gorjuss, il est très joli et s'adapte à tous les intérieurs.

    A propos, nous citons ces poupées sans nez ni bouche "Gorjuss", mais savez-vous qui se cache derrière ces petites filles ?

     C'est une décoratrice Suzanne Woolcott de Glasgow qui attirée par les productions artistiques de la maison Santoro de Londres, créée en 1985 sous le nom de "Santoro London", qui est à l'origine des fameuses poupées Gorjuss. En 2008 elle intègre le groupe et lance sa production à l'effigie de la désormais célèbre poupée.

    Les "Gorjuss" à la fois modernes et traditionnelles s'adressent essentiellement à un public féminin et comme leur visage ne recèle aucune expression, c'est notre humeur du jour qui les fait sourire ou pleurer. Cette absence volontaire fait d'ailleurs tout leur charme.

Petite mise au point : On me reproche de mettre en ligne les ouvrages de mes amies et de rien réaliser. En effet, je fais très peu de patch en ce moment, mais ce n'est pas par paresse ou désintéressement. En ce moment j'aménage une grande maison d'hôtes dans ma ville et je viens de faire pas moins de 27 rideaux et doubles-rideaux, de recouvrir un canapé, de refaire un matelas de convertible aux dimensions non standardisées et de nombreuses autres choses comme des coussins, dessus de chaises ...etc. Ma machine à coudre et mes aiguilles ne quittent plus la table de la véranda depuis plusieurs semaines. Alors de la couture et de la création, j'en fais, mais ce n'est effectivement pas du patch. J'y reviens, n'ayez crainte et je ne délaisse pas celles qui avec le temps, sont devenues de réelles amies.
                                                                           Chantal
   
     Le 16 août, Ghislaine invitait les patcheuses chez elle et c'est autour du gâteau traditionnel que chacune tirait l'aiguille. De cette réunion bien agréable demeure un souvenir 
Chez Ghislaine

    Alors que l'été touche à sa fin, Martine est venue nous rejoindre et elle vient de terminer un magnifique chemin de table aux couleurs de l'automne. Les tissus ont été superbement choisis et l'ensemble sera du plus bel effet sur une table.

Martine

   
Sylviane


    P
endant ce temps Sylviane reprenait le modèle des tasses et contaminait par la même occasion, Danielle. Elle aussi a choisi les couleurs de l'automne et sa tasse est fort belle, plus encore dans la réalité qu'en photo. on la dirait ceinturée d'or.

   
                                                                                                                                 Celle de Danielle arrive, il lui manque quelques points.

Tiens tiens, des jumelles ? Le virus de la tasse dorée a-t-il été si puissant qu'il s'est transmis par télépathie ??? L'explication est tellement simple que je vous laisse la formuler vous même.

    
Chantal

    Quant à moi Chantal, on ne pourra pas dire que je n'ai rien fait de l'été, j'ai comme tout le monde sacrifié à l'essai du thimbelcase . Voici donc ma pochette clic-clac de l'été qui devrait aussi bientôt avoir de petites soeurs. 
    

               Cet article touche à sa fin, la rentrée se profile à l'horizon. De l'été, nous n'avons eu que le nom, pluie tous les jours et nuits voire journées fraîches. Aucune canicule cette année. 

    Au fait savez-vous d'où vient ce mot "canicule" pour grosse chaleur ? Il vient de "canis" (: le chien) en latin - encore une trace de ces Romains qui nous ont envahis il y a 2000 ans et "canicula" qui a donné notre mot français signifie "petite chienne". On a d'ailleurs donné ce nom à l'étoile principale de la constellation du chien. Vous connaissez "la grande Ourse" et bien il y a aussi "le chien". 
    Or les Grecs et les Romains et même les Egyptiens avant eux avaient déjà remarqué qu'entre le 23 juillet et le 22 août, le soleil se levait et se couchait en même temps que l'étoile "canicula" qui se trouve à 8 années lumière de la Terre autrement dit, impossible d'y aller ni même d'y envoyer un satellite, du moins pour l'instant. De là à faire le lien entre les fortes chaleurs de l'été et cette étoile, il n'y eut qu'un pas que nos Ancêtres ont franchi allègrement. Pour eux "canicula" était responsable de la chaleur excessive d'août. Mais cette année, "canicula" a dû avoir une sacrée panne d'oreiller ou un grand malheur, car elle a pleuré tout l'été.

    Cette étoile porte aussi un autre nom que vous connaissez mieux, c'est "Sirius" qui signifie "brûlant" et qui était aussi le chien du dieu chasseur Orion. Ainsi "Canicula" alias Sirius n'était que le moyen dont se servaient les Dieux pour nous infliger les fortes chaleurs.

    Aujourd'hui, nous avons une autre explication plus rationnelle, mais notre langage n'évolue pas aussi vite que la science et la civilisation et porte toujours dans ses mots toute l'histoire de l'humanité.

    Voilà, j'ai encore sacrifié à ma passion de la culture, mais ceci n'a rien à voir avec mon métier de prof, c'est dû à mon tempérament ou à mes gènes. J'ai toujours voulu connaître le "pourquoi" des choses, c'est sûrement pour cela que je suis devenue professeur et non l'inverse.

    Merci à celles et ceux qui prennent le temps de partager un peu ma passion du "pourquoi".
                      Bonne fin de vacances et bonne rentrée à toutes et à tous.
                                                                                                       Chantal